Nous vivons la sixième crise d’extinction des espèces et sommes entrés dans une 1ère que certains nomment « l’anthropocène ». Par ailleurs, les démographes prévoient que les trois quarts des humains seront des citadins à la moitié du présent siècle. Dans ce contexte, les urbanistes et les architectes peuvent-ils se contenter de « verdir » les bâtiments ?
Doivent-ils repenser la ville et la réfléchir comme un écosystème fonctionnel ? Quelles implications pour la biodiversité végétale et animale et pour la santé des humains ?